ARDENNES - AUBE - HAUTE-MARNE - MARNE - RÉGION

Les communes des Ardennes

Moins de 500

Arreux
Blanzy-la-Salonnaise
Boult-aux-Bois
Bouvellemont
Chatel-Chéhéry
Chaumont-Porcien
Ham-les-Moine
Hannapes
Hannogne-Saint-Martin
Hannogne-Saint-Rémy
Houldizy
Machault
Monthois
Montmeillant
Osnes
Senuc
Ville-sur-Lumes

Entre 500 et 2 000

Aiglemont
Dom-le-Mesnil
Flize
La Francheville
Lumes
Maubert-Fontaine
Les Mazures
Messincourt
Neuflize
Poix-Terron
Pouru-Saint-Rémy
Rimogne
Saint-Germainmont
Saint-Menges
Signy-l'Abbaye
Thin-le-Moutier
Tournes
Warcq

Entre 2 000 et 5 000

Haybes
Monthermé
Mouzon

Entre 5 000 et 10 000

Bogny-sur-Meuse
Givet
Nouzonville
Rethel
Revin

10 000 et plus

Charleville-Mézières
Sedan

Ardennes


6. Les collections

Tableau 5 : Nombre moyen de documents dans les bibliothèques selon leur répartition par tranches

Taille des communes
2006
2010
2010’
10 000 et plus
de 5 000 à 10 000
de 5 000 à 10 000
de 500 à 2 000
Moins de 500
10 000 et plus
de 5 000 à 10 000
de 5 000 à 10 000
de 500 à 2 000
Moins de 500
de 500 à 2 000
Moins de 500
Nombre moyen de livres appartenant à la bibliothèque
136 500
11 838
7 036
1 558
412
133 534
10 269
4 485
3 064
359
2 918
359
Nombre moyen de livres prêté par la BDP
0
641
1 251
1 413
407
0
1 067
2 373
2 101
1 020
2 070
2 070
Nombre moyen de documents audio
5 537
0
70
25
0
8 190
602
460
241
0
226
7
Nombre moyen de documents vidé
125
2
150
450
0
2 932
0
92
50
6
47
5
Note méthodologique : Les données 2010’ correspondent aux résultats de 2010 avec les 3 bibliothèques n’ayant pas répondu en 2006. Pour l’année 2006, 33 bibliothèques ont répondu pour les livres et 5 pour les documents audio et vidéo. Pour l’année 2010, 2 bibliothèques ne nous ont pas fournies leurs données pour le nombre de documents audio.

Il est difficile de se prononcer sur une évolution entre les années 2006 et 2010 pour les fonds documentaires étant donné que ceux-ci dépendent des politiques d’acquisitions menées par les bibliothèques, des budgets dont elles disposent et de la régularité du désherbage effectué. En effet, depuis 2005, la BDA forme les responsables du réseau au désherbage afin d’offrir au public des collections en bon état et actualisées. Ainsi, excepté pour Sedan qui a augmenté et déshérbé son fonds documentaire, nous ne pouvons avoir aucune certitude sur les autres catégories de bibliothèques. Cependant, le nombre de livres prêtés par la BDP est en nette augmentation, notamment pour les structures des communes de moins de 500 habitants, ce qui témoigne de l’essor de la collaboration entre les bibliothèques et la BDP.



Comme pour le nombre d’inscrits, le nombre de livres appartenant aux fonds documentaires ne correspond pas de façon signifiante à la taille des communes, excepté dans les cas de Sedan et de Charleville-Mézières qui sont des bibliothèques de grande envergure.

Tableau 6 : Nombre moyen de documents disponibles dans les bibliothèques

 
Département
2006
2010
2010’
 
Moyenne
Médiane
Moyenne
Médiane
Moyenne
Médiane
Nombre moyen de livres appartenant à la bibliothèque
9 535
511
9 261
1 314
9 489
1 430
Nombre moyen de livres prêté par la BDP
625
250
1 338
837
1 562
1 047
Nombre moyen de documents audio
149
0
580
0
583
0
Nombre moyen de documents vidéo
17
0
168
0
157
0
Note méthodologique : Pour l’année 2006, en ce qui concerne les questions sur les livres, 33 des bibliothèques ont répondu et pour les documents audio et vidéos elles sont 5 à avoir répondu. Pour l’année 2010, 2 bibliothèques ne nous ont pas fourni leurs données pour le nombre de documents audio.

Si la moyenne du nombre de livres dans le département a diminué entre 2006 et 2010, on peut remarquer que le nombre de livres prêtés par la BDP a considérablement augmenté. Nous pouvons donc en déduire que les bibliothèques faisant partie du réseau de la BDP ont tendance à emprunter des livres à la BDP, plutôt que d’en acheter, ce qui permet de répercuter ce gain sur le budget d’acquisition pour l’achat d’autres supports, vidéo ou audio, comme en témoigne l’importante hausse des moyennes de ce type de fonds dans le département. Cet essor est dû à l’action de médiation de la BDA envers ces supports auprès des bibliothèques de leur réseau. Cependant, la BDA ne prête pas de supports vidéo et les fonds déclarés sont donc les fonds propres aux bibliothèques dans ce domaine.